Un matin, avant l’Île-aux-Moines (8)

4 réflexions sur “Un matin, avant l’Île-aux-Moines (8)”

  1. Il faut voir le positif dans tout ça, elle aurait pu avoir ce malaise en pleine nuit ou seule un jour avec les enfants ou sur la route. Au moins tu étais là pour aiguiller les secours et appeler sans perdre de temps.

    Les soignants ont toujours cette culpabilité de ne pas avoir décelé des choses trop tôt mais tu restes un humain et c’est très dur de soigner les proches. Je pense à ma belle-mère qui avait un angor et dont le frère pourtant cardiologue n’avait rien perçu au téléphone (parce que c’est tellement facile aussi de minimiser ou banaliser des symptômes).

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